Pouvoir & Arme

Yriel, malgré avoir changé totalement de corps, de race et d'esprit, reste tout de même celui qu'il était, bien qu'ayant perdu l'habitude de se battre avec une arme, il garde constamment en sa présence une épée qu'il avait demandé de conserver avant de s'endormir. Cette épée est des plus banales, mais elle reste sa seule et unique arme. Il garde aussi avec lui le Ressort d’Éther, enfin ce n'était pas comme si il avait le choix, le ressort est scellé en lui et il ne peut pas s'en séparer. Grâce à sa puissance de Titan, Yriel à découvert de nouveaux pouvoirs. Télépathie, Télékinésie, Téléportation, Traverser les Murs, Changer de Formes et d'autres dons dans son genre font partit de sa puissance actuel.

Physique

Yriel est une personne pour qui il n'est pas physiquement difficile de distinguer des autres. En effet, en plus de sa beauté frappante, il se démarque de par la noblesse hiératique de ses traits et de sa stature. Il n'est pas rare de voir en lui en certains moment une véritable incarnation de ce que doit être un véritable prince. Il n'est pourtant pas particulièrement grand, mais demeure d'une silhouette fine et élancé, presque fluette si ses formes joliment juvéniles n'étaient pas là pour rappeler que se tient devant ses interlocuteurs un vrai jeune homme.

Son visage conserve les traits purs d'un jeune prince en pleine fleur de l'âge. De grands yeux aux teintes changeantes adoptant tour à tour plusieurs tons animal vous accueillent d'un regard parfois innocent, parfois glacé, parfois rieur, mais subsiste en celui-ci immanquablement un caractère perçant et pénétrant que l'on croirait pour peu capable de mettre à nu l'âme de n'importe quelle personne sur qui se poseraient ces prunelles enflammées qui pourtant ne voient néant. Un regard presque surnaturel qu'encadrent les quelques mèches d'une franche de longueur inégale. Ses longs cheveux lui arrivant jusqu'en bas du bassin sont d'une finesse rarement vue jusqu'alors, et de texture soyeuse. Ils sont d'une teinte d'un rouge flamboyant, qui les rend d'autant plus uniques que la lumière s'y reflète de mille éclats argentés, tirant sur le brun mordorure par endroits. Le jeune homme possède un nez fin et très légèrement incurvé qui surmonte une bouche aux lèvres pulpeuses et rosées qui paraissent sans trop d'imagination avoir été conçues pour donner et recevoir nombre de baisers. Une paire d'oreille animale, neufs queues presque fantomatique, n'importe qui pourrait confondre le titan avec un Neko.

La garde robe de Yriel est assortie à son rang. Il aime en effet à porter des tenues de soie, parfois s'arrêtant à celle d'un noble mais dont toujours les broderies rappellent la qualité des étoffes. Il ne porte pas réellement de vêtement, mais si il daigne en mettre il s'arrange pour que ceux-ci mettent avec application en exergue la beauté de ses jambes, dont aisément on devine la peau douce et sans imperfection aucune. Il n'est pas rare de le voir agrémenter sa coiffure de quelque accessoire, chapeau ou ruban. Aussi porte-t-il presque constamment sur ses mains des gantelets, et lorsque ceux-ci le lui permettent, à ses bras quelque élégant bracelet.

Que ce soit dans ses manières ou son port, Yriel sait faire preuve de fierté et de noblesse. Le jeune homme sait se faire aussi gracieux qu'un cygne, aussi noble et félin qu'un lion dans chacun de ses gestes, même les plus anodins. Quoiqu'il en soit, Yriel n'est pas une personne à laisser indifférent ceux qui se présentent à lui. Trouble, peur, admiration, fascination sont tant d'émotions qu'il sait provoquer, même involontairement, chez qui connaît les grâces de sa présence.

Caractère

Soumis à cet étrange contraste, Yriel se désigne en quelques mots. Ce jeune prince à l'étrange caractère, démontre un contraste étrange en lui même. En effet marqué par un autre lui, il va et vient tel un oiseau, dans de différents et étranges comportements qui parfois amènent rapidement à la crainte de son prochain. Dans ce caractère, Yriel est aussi bon que mauvais, intelligent que bête. C'est aussi bien un ange qu'un démon, il est souvent comparé à l'incapable et l'incroyable. Il est ce qui peut être entre la vie et la mort.

Yriel est d'abord une personne fiable et sincère. De bon cœur, loyal et du genre à respecter autrui, Yriel est prêt à donner son amour à son impératrice et son entourage. Possédant une thèse plutôt simple; “ Aime ton prochain et il t'aimera. ” Yriel affiche un dégout fort à la violence. Toujours là, et jamais apte à fuir et laisser les innocents en difficulté, il peut s'avérer qu'il montre un certain masochisme à vouloir prendre les coups pour les autres. C'est quelqu'un d'attentionné qui est aussi protecteur avec ses gardes, craignant de les voir souffrir juste un jour. Il est juste et ne laisserait jamais quelqu'un s'attaquer à un proche. Le jeune homme est du genre à ne jamais abandonner son but, bien que par moment l'hésitation se mélange à celui-ci, il reprendra toujours le bon et droit chemin. Loin d'être lâche, il est prêt à tout, sauf à tricherie, afin de gagner. Son passé d'orphelin lui ayant donné un peu de bon esprit qui le rend si courageux.

Par moment, le jeune homme possède une drôle d'envie de sang. Une haine sans pareil et une hypocrisie qui l’enivre. Yriel cache en lui un esprit relativement bien étrange. Méchant, mauvais et égoïste, cet autre Yriel, parfois si terrifiant, n'a rien à voir avec celui décrit plus haut. Sans pitié et adorateur du crime, cet autre prince préfère enfoncer un couteau dans le cœur des autres plutôt que venir en aide à ceux-ci. L'autre Yriel est ainsi, préférant écraser les autres que de se laisser marcher dessus. Cet assemblage étrange de la vie, qui terrifie Yriel fortement, de crainte de sombrer dans la folie, de se tuer, cette folie qui le hante depuis sa plus jeune adolescence, fait de lui une personne si étrange. Tel un jumeau invisible, il lui arrive de lui parler, de bouger avec lui, bien que les gens qui l'entendent ou le voient le prennent pour un fou. Son autre lui, qui paraît tel un reflet du miroir, semble savoir que l'un existe et l'autre non, cependant ce n'est pas pour ça qu'ils vont se haïr. Il est lui, Lui est il, Yriel est Schizophrène. Une partie d'en lui vaincu par un équilibre incertain.

Pour finir, Yriel est plutôt simple d'esprit, calme, reposé, il se montre parfois très silencieux. À première vu l'air d'un mélancolique rêveur, solitaire et Lunatique. Yriel déteste plus que tout le bruit, il aime le silence plat. Quelque soit sa forme, son caractère, Yriel adore plus que tout ses deux gardes du corps, pour lui, ses deux gardes du corps sont ses seuls amis. Sa couleur favorite rime avec son nom, et son type de prédilection possède la couleur du rouge. Peu difficile en manière de nourriture, il mange de tout de bon cœur, cependant il ne compte pas exagérer de celle-ci.

Histoire

Il y avait, devant une porte, une femme, déposant alors un bébé dans un petit panier, et le bébé fut trouvé, un miracle. L'enfant fut nommé Yriel, élevé comme un bon garçon, devenu hérité d'une riche famille. Mais cependant il manquait à ce petit une chose, un coeur. Et puis les années passèrent, il fut seul. Les gens le rejetaient, le considérant comme un monstre, ils avaient peur de ses origines, enfant de nul part. Et personnes ne venaient à son aide, il se contentait de pleurer dans son coin, l'enfant sans coeur.

Et puis un jour, alors que la chaleur fut si haute, son père rentra, seul. Le garçon sans comprendre, alla demander la raison de son père, celui-ci se contenta d'un mot, avant de partir. Étrange sensation, il ne savait pas quoi faire, il se sentait démoralisé, triste, seul, désemparé, inutile. C'est à ce moment là, qu'il aurait voulu qu'on l'aide, lui qui n'avait jamais rien demandé, jamais rien fais, il se sentait seul. Et dans sa rage il hurla de toutes ses forces. Laissant sa tristesse lui voler sa conscience, sans plus de haine, plus de joie, il se laissait envahir par une étrange voix, qui le tourmentait. Mais que ce passait-il ? Il se hâta alors loin de chez lui, sentant des rebonds dans sa poitrine, c'étais si étrange.

Arrivé à un arbre qui dominait la ville, il tomba soudainement à genoux et des larmes coulèrent, il ressentit soudainement le froid et la chaleur, c'est alors que tout se chamboula en lui, il entendait mal et parfaitement, il voyait net et trouble, il releva alors sa tête bien haut, quand la voix continua et que là il lâcha un seul et unique mot.


Et puis les jours passèrent et ses jouets ainsi que ses tableaux furent remplacé par des épées, une série d'arme, jusqu'au jour où il décida de se remettre au dessin, mais pas n'importe lequel...


Il y avait, dans la neige blanchit, deux enfants qui marchaient, mains dans la mains, en quête de liberté. Et sans espoirs au regard, ils fixaient l'horizon, avec la prière d'avoir une famille. Eux qui n'avaient jamais rien connu, car très jeune, alors qu'ils étaient encore jumeaux aux parents, ceux-ci les ont quittés dans un sommeil que le jeune garçon ne leur pardonnera jamais. Les deux enfants avaient froid, faim, mais ils marchaient. Le chemin était si long, mais leur courage lui n'avait pas de faille.

Ainsi sur la neige polaire, ils traversaient la grande route. Il y avait un jeune homme aux cheveux d'or ainsi que son reflet du miroir, un reflet, tel l'Eve d'Adam. Et sur la neige ils marchaient, très lentement, tout deux, main dans la main, dans un but unique qu'il soit, en quête de rejoindre cette terre de paix, cette terre au centre de tout, la terre du milieu.

Et puis lentement, les mois s'écoulèrent, lentement les enfants avaient grandit, et étaient devenus adulte, ils parvinrent à cette étrange terre qu'il nommait le paradis. Ils y étaient arrivés, mais personne ne voulurent d'eux. C'est comme ceci que le voyage continua, triste, le jeune Adam marchait dans la plaine d'herbe, ébahis par la beauté de celle-ci, au point de lâcher la main de sa soeur qui les sépara. Un an s'écoula, et l'Adam fut arrivé dans une ville près d'un désert, sans sa soeur, avec l'espoir de la retrouver et qu'on l'aide pour ceci, il priait, priait de réussir.


Il y avait, dans un village du désert, derrière la frontière, un jeune garçon qui possèdait un regard de flamme et des cheveux rouge. Et dans sa tristesse il fut seul, personne ne voulait de lui. Il s'ennuyait à dessiner sur le sable et quand on lui jettait des cailloux il fuyait. Il avait grandit auprès d'un père et d'une mère, il ne connaissait pas sa vrai famille. Et puis un jour, son père rentra, seul et triste, semblant haïr, intrigué l'enfant lui demanda pourquoi, et il lui dit une chose horrible. Une vérité mentie. Il pensait que tout était perdu, il sentait les larmes présentes. Il avait détesté ce monde.

Et dans sa tristesse il perdit la dernière chose qui lui restait, une maladie emporta avec elle le mensonge. Mais faut-il croire au mensonge, si on en sait point la vérité, mais pourquoi s'attarder dessus ? Ainsi pour réussir, il se jugera de s'avoir se que cachait cet air, ce mensonge, cette tristesse, et il s'arrangea pour tout s'avoir, cependant il ignorait tout de ce nom qui avait été dit. Et il entendait cette voix lui dire venge nous, il avait mal, il explosa.


Et puis un jour, il dessinait à nouveau, sur le sable jaune, il semblait triste. Il ne voyait plus rien d'autre que cet homme qui avait fait un crime horrible, il voulait le voir mourir, au plus profond de lui il le haissait. Et il dessinnait sur le sable jaune cet homme pendu, tranché en mile, ou alors démenbré. Mais sa haine était relative à une simple croyance. Et la douleur dans sa tête revenu, il se la tenit et s'enfuit, loins de chez lui, loin de la ville, il alla se tarder dans une ville voisine pour prier au port.

Lorsqu'il vint à y mettre les pieds il trouva une jeune fille aux cheveux d'or, elle semblait épuisée, il la prit et rentra chez lui, la déposant dans le lit, il prit soin d'elle. Inquiet, il ne dicernait plus qui il était. Un jour la fille rouvrit les yeux, et souria au jeune homme, son coeur se réchauffa. Il était victime de la pitier. Des jours passèrent et il rencontra, avec la jeune fille, le miroir de celle-ci. Les deux frères heureux de se retrouver, accordèrent fidélité au jeune héritié. Grâce à le rang de son père, il devint la nouvelle principauté du territoire, il rêgnerait avec grâce, il nomma les deux frères et soeurs commes gardes du corps, car ils étaient les seuls à l'avoir vu.


Il y avait bien longtemps, dans un désert, trois âmes soeurs qui s'entraidaient. Dans ce si beau couple, il y avait un noble à la fois sur de lui mais aussi triste. Alors que ses protecteurs tentaient de l'aider, il s'enfonçait. Victime d'un mensonge si étrange, jamais il ne serait quoi faire. En voyant le malaise de leur ami, les deux frères se promirent une chose, le venger. L'une apprit à manier les dagues, l'autre l'épée, un seul but, cet enfant aux cheveux rouges.

Cet enfant meurtrie tenta d'oublier sa folie, pour y remédier le garçon aux cheveux d'or sacrifia son pouvoir qu'il scella dans une dague puis la remit à son prince. L'enfant décida un nom qu'il cacha. Inquiet par l'état de sa ville Yriel réfléchit et décida de concentrer l'argent de la ville pour ses habitants et non ses besoins, faisant de cette ville une ville magnifique, une ville qui donne l'envie de vacances et de repos. Les Habitants avaient mal jugé leur principauté, et finirent par acclamer.



Un jour, alors que la chaleur tuait le village, Yriel et la soeur aux cheveux d'or étaient ensemble, les jumeaux c'étaient dit qu'ils se sépareront pour trouver le mot qui ronge Yriel. Depuis le début le jumeau aux cheveux d'or avait vu quelque chose d'effrayant, une chose qui le faisait faire des insomnies, mais refusait d'en parler. La jumelle, inquiète, décida de faire sa propre enquête et resta auprès de son maître pour ne pas qu'il se fasse attaquer par ce que craint le jumeau.

Yriel avait en permanence une petite dague qui scellait en lui un grand pouvoir, cette dague se nommait le Ressort d’Éther. Ce n'était pas une dague de combat, elle avait cependant un certain charme qui faisait d'elle un objet sacré. Yriel ne s'en séparait jamais, même pour dormir, selon le jumeau aux cheveux d'or cette dague calmait les envies sanguines d'Yriel, mais la jumelle sentait quelque chose d'autre dans son maître.

Un jour Yriel partit en promenade, interdisant à la jumelle de le suivre, quelques temps après, inquiète, la jumelle fini par chercher son maître, elle vit un briguant, sous ses yeux, dérober la dague des mains de son maître. Sa première réaction était de tenter de soigner son maître, regardant fixement le briguant, voulant l'attaquer, celui-ci posa une question à Yriel, une question toute simple, qu'elle est ton pouvoir? Sur le coup Yriel s'entoura de flammes et devint un espèce de grand renard, enflammé, possédant neufs queues, il était devenu un Kitsune.

Au début la jumelle prit peur, puis elle se souvient d'une race que son jumeau lui avait parlé, les Laïtos, c'est à ce moment là que le déclic vint, elle empoigna ses armes et aida le renard à récupérer la dague, une fois celle-ci rendu à son propriétaire, celui-ci retomba, inconscient, mais humain. La jumelle sourit et lui murmura quelque chose.

« Kannah Skovel. »

Dans une grand forêt, un jumeau marchait, pensif, oubliant tout le reste, ignorant ce qu'il cherchait, un mal qui rongeait silencieusement son maître, il avait entendu, avant de perdre ses pouvoirs, que son maître haïssait l'empereur de la zone terrestre, mais il cherchait encore la raison. C'est pourquoi il alla directement dans la zone de l'empereur pour tenter de trouver une piste, un indice qui pourrait l'aider.

Au début le jumeau se renseigna dans les villages des grandes plaines, et tout les habitants lui conseillait de chercher plutôt dans la capital. Restreint à cette possibilité, le jumeau alla donc à la capital, attentif au moindre détail, jusqu'à en croisant un qui fut le déclic. Il y a quelques années de cela, alors qu'il était séparé de Kannah, le jumeau avait vu deux hommes assassiner une femme, une déduction en suivit quand il vit justement ses deux hommes se promener en paix dans la ville...

Yriel avait enterré son père à sa mort, mais pas sa mère, alors qu'il leur avait dit que sa mère était morte. Le jumeau devina de suite qu'Yriel pensait que le meurtrier de sa mère n'était d'autre que l'Empereur. Kiba rentra alors à Marao où il chercha les souvenirs d'Yri, il y trouva une peinture familiale avec Le père, Yriel bébé et sa mère, sa mère qui ressemblait à la femme qui c'est fait assassinée. Au début il voulu tout dire à Yriel, mais en se souvenant que la femme attendait un bébé il se tut. Yriel a toujours rêvé d'avoir un frère, le jumeau ne voulait pas le briser en lui disant que ce frère tant voulu est mort par des brigands avec sa mère. Il murmura alors en silence.

« Kiba Skovel. »

Il y a 10 ans de nos jours, dans les terres du milieu, résidait encore au château de l'impératrice un immense pouvoir, celui-ci se nommait la pierre de l’Éther. On disait que sa puissance était qu'elle pouvait rendre un simple mortel un titan. Protégé, la pierre était gardé par la plus grande protection possible, cependant la pierre de l’Éther semblait instable, effectivement. Après tout ce temps la pierre perdit des fragments de sa puissance et n'arrivait pas à la récupérer. Ce manque dégradait de jour en jour, il fallait récupérer ce manque, et on ne vit qu'un seul moyen, trouver quelqu'un ou quelque chose qui aurait assez d'esprit en lui pour fusionner en la pierre. Au début on chercha dans les soldats les plus importants, afin de trouver quelqu'un qu'on ai assez de confiance, mais on ignorait que la clé se trouvait chez une Principauté.

Kiba ayant eu vent de la situation comprit qu'il faudrait une puissance tel le Ressort de l’Éther afin de calmer le vide. Il tenta maintes fois de créer à nouveau cette dague, mais se fut un échec, il n'arriva jamais à créer une seconde et encore moins de s'enlever ses pouvoirs à nouveau. Quelques peu inquiet il en parla avec Kannah et ne trouvèrent qu'une solution, tout faire pour qu'Yriel s'unisse à ce caillou magique. Le convaincre fut facile, Yriel, équilibré avec le ressort, avait une conscience et comprit la situation, étant même motivé à se sacrifier. Kiba était au début méfiant, mais il ne pouvait pas protester son maître.

Le plus dure était de convaincre l'impératrice et ses conseillers, quoique l'impératrice connaissait déjà Yriel, mais au point de lui laisser ce dons si puissant. Kiba alla au château en premier, en plus d'être garde du corps de sa principauté, il en restait un scientifique hors pair. Il en conclut devant l'assemblée que la Pierre de l’Éther avait grand besoin d'une source d'énergie suffisante pour calmer son manque. Il leur prouva d'ailleurs que ce qui lui restait de magie pourrais combler ce manque, cependant il leur parla d'autre recherchent. Il était certains que de retirer le pouvoir de quelqu'un pourrait l'amener à le tuer, ou presque, de plus Kiba se connaissait, quand il a créer le Ressort il a sentit son âme se déchirer. Puis il leur conta l'histoire du Ressort, ne désignant pas encore son maître, il leur dit juste:

« Un Laïtos à reçu une partie de mon pouvoir, scellé dans une Dague du nom du Ressort de l’Éther, la puissance de cette dague est tel que le Laïtos n'a plus de crainte de prendre sa forme originel ou de commettre des crimes, bien au contraire. Il est sage et protège les gens tant que le Ressort est en lui. Ce Ressort est assez puissant pour combler calmer la folie pure, elle serait donc assez puissante pour rendre l'équilibre à la pierre de l’Éther... Ce Laïtos aime son pays... Son village... Ses amis... » Alors qu'il manquait de fondre en larme il se reprit. « Ce Laïtos à accepté de se sacrifier, actuellement il lutte, en présence de ma soeur, enfermé là où il ne pourrait pas faire de mal et m'a remit le Ressort... Impératrice, faites en bonne usage. »

Après avoir donné le Ressort puis être sortit de la salle, il se hâta de rejoindre Kannah et Yriel, celui-ci était luttait fortement contre la folie. Au début ils tentèrent de calmer le manque de la pierre, mais la dague refusait de faire effet. Ils décidèrent d'aller voir Kiba pour résoudre ce problème et en entrant dans la maison où était Yriel, la dague s'illumina et appela son maître. Kiba comprit de suite que le Ressort était lié à sa principauté et que sans celle-ci elle ne fonctionnerai jamais. Après avoir rendu le Ressort à Yriel, Kiba leur proposa de faire d'Yriel leur Titan. Le jeune Laïtos avait déjà un avantage d'être une principauté, mais il leur fallait une réflexion avant de donner leur avis.

Behind the Mask...