Nom : Mae

Prénom : Dhamia Aleane


Surnom : "L'Oiseau Chanteur", Mia

Age : 27 ans

Orientation sexuelle : Hétéro


Race : Aïnur

Terre d'origine : Zone céleste

Terre d'accueil : En principe, les Aïnurs sont bien accueillis partout car leur venue est synonyme de festivités. Ainsi, Dhamia habite dans la zone céleste mais ne s’y trouve que rarement car elle préfère aller de ville en ville, et de zone en zone.


Pouvoirs/armes : Sa musique ; Dhamia joue d’un grand nombre d’instruments mais la flûte de pan est sans aucun doute son favori. C’est en effet à travers la musique que les pouvoirs des Aïnurs se manifestent ; celui de Dhamia est lié à la stimulation de sentiments particulièrement puissants chez son public. Elle est donc capable d'apaiser une personne en sifflotant discrètement, mais c'est armée de sa flûte qu'elle entre en pleine possession de son pouvoir.

Situation professionnelle : Artiste (musicienne et compositrice)

Objectifs : Dhamia estime être trop connue pour ses qualités d'interprète et de musicienne alors que la plus grande de ses passions est la composition, domaine dans lequel d'ailleurs elle excelle. Elle aimerait être utile au monde en composant des musiques qui parlent aux gens et elle rêve également de rappeler et d'enseigner l'histoire à travers la musique. Car bien des choses se perdent avec le temps, et à ses yeux il est important de se souvenir.



Description physique :
La plupart du temps, elle se promène pieds nus mais il peut lui arriver d'enfiler des bottes, lorsqu'elle doit voyager par exemple. Comme la plupart des membres de son espèce, elle veille à son apparence vestimentaire et n’aime pas paraître mal habillée, que ce soit lors d’un concert ou lors d’un long voyage sur des routes poussiéreuses. Elle sait ainsi habilement varier les tenues : nobles et colorées pour les fêtes, pratiques et sobres pour les voyages.
Ses longs cheveux argentés pendent librement dans son dos et ne sont pas souvent attachés car Dhamia a dans l'idée que les entraver pourrait les abimer. Son regard a quelque chose de troublant et éclipse tout le reste de sa personne. En effet, en observant ses prunelles de plus près, on peut s’apercevoir qu'il n'y a aucune variation de couleur dans ses iris, c’est-à-dire qu’ils sont d’un bleu tout à fait uni, contrairement à ce que l'on voit couramment. Personne ne s’étonne de ce que ses oreilles soient pointues puisque tous les Aïnurs les ont délicates et allongées pour leur permettre de capter les moindres sons. C’est, avec leur instrument, l’outil primordial de ces musiciens.
La silhouette de Dhamia, enfin, est longue et mince. A vrai dire, on pourrait comparer la jeune femme à son instrument : aussi semblablement délicate et robuste que le bois d’une flûte. Sa façon de se mouvoir est discrète, son pas léger étant dû à sa nature aérienne, mais on remarquera que lorsqu’elle est joyeuse on a presque l’impression de la voir danser plutôt que marcher ; c’est que sa tête bourdonne de mélodies qui ne demandent qu’à s’exprimer et être partagées.

Description psychologique :
Bornée et entêtée, il est difficile de faire entendre raison à Dhamia quand elle s’est mis quelque chose en tête. Etant dotée d'une curiosité sans limite, elle prend parfois des risques sans même s'en rendre compte. On la dit certes très étourdie mais cela est faux. Au delà des apparences, elle est parfaitement lucide et il lui arrive même d'être un peu trop pince-sans-rire. Mais le défaut le plus flagrant de Dhamia est sans conteste son franc-parler, qui lui a déjà valu pas mal d'ennuis. En un mot, le trait le plus reconnaissable de son caractère est le fait qu’elle soit lunatique.
Quand on demande à Dhamia qui sont ses amis, elle répond généralement de façon détournée en prétendant qu’il y a trois sortes d’amis : ceux qui vous aiment, ceux qui ne se soucient pas de vous, et ceux qui vous haïssent. Elle estime qu'il vaut mieux compter sur soi-même plutôt que sur les autres. C'est l'une des raisons pour lesquelles elle n'est jamais tombée amoureuse; elle accorde difficilement son estime. Bien entendu, elle a eu plusieurs aventures mais aucune relation ne lui a donné envie de fonder une famille. Et puis, pourquoi s'emprisonnerait-elle alors que son métier la passionne et lui fournit quotidiennement son lot de relations sociales ? Néanmoins, ce qu'elle aime le plus chez autrui, c'est la franchise et le sens de l'honneur. Même les malfrats et les assassins ont à ses yeux de la valeur s'ils font preuve de bravoure et de bon sens.
Décrire la psychologie d’un être vivant est une chose complexe, aussi le soin de mieux connaître celle de Dhamia vous sera-t-il laissé.

Histoire :
Vedamra était de constitution trop fragile pour avoir un enfant, ils en avaient toujours été conscients. Toutefois ils avaient décidé de prendre le risque : ils voulaient tant offrir aux cieux un gage de leur amour qu’ils en avaient négligé toute prudence. Et voilà que le maître compositeur était sur le point de perdre la prunelle de ses yeux ! Il s’en rendait bien compte, jamais il n’aurait dû risquer la vie de son épouse ! Melye avait raison de le fixer, en silence, de ce regard si venimeux. Elle lui avait reproché, tout le temps qu’avait duré la grossesse de sa fille, de ne penser qu’à l’héritage de son nom. « Comment le célèbre Ankea Mae pourrait-il résister au plaisir et à la vanité d’offrir au monde un échantillon de sa prétendue perfection ? » voilà ce que crachait régulièrement sa belle-mère. Ankea détourna son regard pour ne plus voir cette face fripée et si raisonnablement inquiète et pour se concentrer sur la porte le séparant de la chambre dans laquelle Vedamra hurlait. Le médecin avait assuré qu’il valait mieux rester à l’écart pendant l’accouchement et, à sa grande honte, il n’avait pas insisté bien longtemps pour tenir la main de sa femme. Un cri particulièrement long parvint aux occupants de la pièce, suivi d’un profond silence. Celui-ci ne dura guère plus de quelques secondes mais l’angoisse qui l’accompagna fut presque intolérable pour ceux qui écoutaient. Un, deux, trois. Un, deux, trois. Un…deux… Le cœur d’Ankea semblait s’être arrêté en même temps que les pleurs de sa femme. Puis soudain, un murmure étouffé, un bruit semblable à une claque et enfin le cri caractéristique d’un nouveau-né. L’homme devenu père se leva brusquement, son cœur reprenant une course effrénée. La porte s’ouvrit après un moment et la tête du médecin apparut. Il lui fit signe qu’il pouvait entrer. Sans jeter un seul regard à Melye, toujours assise et muette derrière lui, il s’engouffra dans la chambre.
Ce qu’il vit alors fut sans doute la chose la plus douce qu’il eut jamais connue : Vedamra, pâle et les traits tirés, était adossée à une pile de coussins, bel et bien vivante. Mais surtout, elle tenait entre ses bras une créature rouge et remuante qui ne pouvait être que leur enfant. L’expression tendre de son épouse le conquit et il s’avança jusqu’à elle, ne pouvant en croire ses yeux. « Il… Elle… » Incapable de formuler clairement sa pensée, Ankea se contenta de s’asseoir sur le lit et de tendre la main vers le bébé. Veda le regarda à son tour et lui murmura ; « Voici Dhamia, ta fille. »

Voilà, c’est ainsi que je suis née. J’eus la chance de ne pas être dès la naissance la cause de la mort de ma mère. Et ce n’est pas peu de choses, lorsqu’on pense aux enfants qui perdent leur mère avant même de l’avoir connue et qui deviennent dès lors la source d’une joie amère pour le père qui les élève – quand il les élève. Soulagés que l’aventure se soit si bien terminée, mon père et ma grand-mère se sont réconciliés. Enfin, je dirais pour être plus juste qu’ils se tolèrent aujourd’hui sans échanger d’insultes trop salées. Avant de vous donner un aperçu de mon enfance, je dois d’abord signaler que même si mon père était ravi de m’avoir, il a éprouvé une certaine déception à l’idée que je ne sois pas un fils. Aussi un an après ma naissance, quand la meilleure amie de ma mère mourut en mettant au monde le petit Enrys, je gagnai un frère sans pour autant perdre ma mère. En revanche, ma naissance a beaucoup affaibli la constitution de celle-ci ; elle s’essouffle dans l’effort, elle attrape vite froid et elle se casse facilement le bras ou la cheville. Quant à mon père, je l’aime sans aucun doute mais notre relation est parfois difficile.

Il fallait bien le reconnaître : Dhamia était un enfant précoce ! Son don inné pour la musique, dû bien sûr au fait qu’elle soit Aïnure de pure souche, n’expliquait pas tout. Quand on lui avait présenté les innombrables instruments de musique, comme on le faisait traditionnellement avec tout nouveau-né de son espèce, elle avait choisi une flûte de pan. Un choix surprenant puisque sa mère jouait de la harpe et son père de la lyre, à savoir des instruments à cordes pincées. L’union entre un Aïnur et un instrument de musique a quelque chose de magique ; c’est elle qui donne ses pouvoirs à l’Aïnur et qui définit sa personnalité. Il est courant que le type d’instrument soit semblable de génération en génération dans une même famille mais il n’est pas rare pour autant qu’un enfant se distingue par un choix original. Ainsi donc, Dhamia s’était distinguée. Mais si chaque membre de cette race présente une affinité unique avec la musique, on en voit encore certains plus doués que d’autres dans tel ou tel domaine. Il se trouvait d’ailleurs qu’Ankea était un compositeur de talent, reconnu des siens mais aussi des autres races. Et visiblement son talent s’était transmis à sa fille, mais ô combien décuplé ! Aussi vite que le lui permettait son âge, la fillette révélait une capacité à reproduire les sons remarquable : elle avait l’oreille absolue. Nul besoin de lui apprendre les rudiments de la musique pour qu’elle soit capable de rejouer un air qu’elle venait d’entendre. Cela, dès sa plus petite enfance, lui assurait d’ores et déjà une place à l’Académie d’Arts de la zone céleste quand elle serait en âge d’y aller.
Mais ce don généreusement transmis à sa fille développa un aspect terrible du caractère d’Ankea : sa recherche de la perfection ne pouvait jamais être atteinte. Il se mit à encourager Dhamia mais en la faisant travailler sans relâche, à la faire se surpasser. Mais une petite fille a besoin de jouer et de s’amuser pour grandir. Heureusement, si Vedamra ne pouvait pas participer aux jeux de sa fille du fait de son état maladif, elle pouvait encore la protéger de l’influence oppressante de son époux. Elle fit donc de son mieux pour freiner Ankea, pour confier le plus souvent possible Dhamia à Melye et pour conserver une atmosphère familiale paisible dans son foyer.
Lorsque Dhamia eut presque un an, Enrys rejoignit donc le clan des Mae. Par chance, l’entente entre les enfants fut immédiate et avec le temps elle fut même meilleure qu’elle ne l’est habituellement entre de véritables frères et sœurs. Malgré un père perfectionniste et une mère malade, Dhamia eut donc une enfance heureuse.

Oui, vous connaissez désormais l’essentiel de mon enfance et je ne pense pas qu’il y ait besoin de s’attarder sur les détails. Je ne crois pas non plus qu’il soit utile de raconter comment j’ai grandi, qui étaient mes amis, pourquoi j’ai fait tels choix plutôt que d’autres. En revanche, vous ne connaîtrez pas vraiment mon histoire si vous ne savez pas que j’ai été l’amie la plus intime d’Alecto Adovera. Vous savez de qui il s’agit, n’est-ce pas ? (Voyons, l’une des plus grandes sopranos que Verden ait portées !)
Si vous n’êtes pas un habitant de la zone céleste, vous avez peut-être remarqué quand même que les artistes les plus prisés aux fêtes, celles de chez vous comme celles d’ailleurs, sont des Vélanes et des Aïnurs. Comme d’autres privilégiés, j’ai étudié à l’Académie d’Arts de la zone céleste. J’y ai rencontré bien des gens, doués ou pas. Comme de nombreux Aïnurs, j’ai découvert la voix exceptionnelle des Vélanes. Et comme nous en avons l’habitude, j’ai éprouvé l’envie de me joindre à l’une de ces voix pour pratiquer mon art. Cette voix, je l’ai trouvée en la personne d’Alecto.
A peine nous sommes nous rencontrées qu’est née cette sorte de communion entre deux âmes que vous avez peut-être déjà éprouvée un jour dans votre vie. Nos goûts musicaux se rejoignaient malgré nos nombreuses différences. Cette Vélane, je l’admirais intensément. Non seulement sa voix était magnifique, mais j’enviais la douceur de ses cheveux et la couleur de ses yeux, autrement plus chaleureux que les miens. Tout dans sa personne était rire et bonne humeur. Nous nous sommes très vite accordées pour partir ensemble sur les routes lorsque nos études seraient terminées. Et c’est ce que nous avons fait. Mais je me demande aujourd’hui si mon admiration pour elle ne m’a pas voilé les défauts qui finalement nous sépareraient.

C’est moi qui écrivais la musique. Je la jouais à la flûte, accompagnée d’Enrys et de son bodhrán, de Calis et de son luth, ainsi que de la voix d’Alecto. A nous quatre, nul besoin de musiciens supplémentaires pour fasciner le public. Lors des fêtes et des banquets, il y avait davantage de musiciens à exploiter bien entendu, et je m’en donnais alors à cœur joie dans les mélodies que je concoctais, mais quand nous décidions de voyager de ville en ville nous le faisions pour le plaisir de jouer, simplement, dans les auberges ou dans les rues.
Ce soir-là, nous étions dans une auberge perdue dans les grandes plaines de la zone terrestre. Après avoir dîné, comme toujours, nous avions pour mission de distraire les clients de l’aubergiste. Cela nous permettait de ne pas sortir de pièce de nos bourses et de faire ce qui nous plaisait par-dessus tout : jouer et chanter. Ce soir-là néanmoins, Alecto avait une mauvaise toux. Elle s’était enrhumée sur les routes et, contrainte de préserver sa voix pour les prochaines fêtes, elle devait chanter le moins possible. Moi-même, ayant toujours baigné dans la musique, j’avais une jolie voix. Mais je ne chantais jamais en public puisqu’il était clair dans mon esprit que la chanteuse était Alecto. J’étais parfaitement épanouie en jouant de plusieurs instruments et, surtout, en étant connue presque davantage que mon père par la qualité de mes compositions. De plus en plus d’artistes reprenaient mes créations, et j’avais bon espoir d’être reconnue bientôt comme Maîtresse compositrice. Donc, ce soir-là, Alecto ne pouvait pas chanter. Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’était la première fois que nous nous retrouvions privés de sa voix magnifique. Les clients de l’auberge réclamant de la voix, je m’attelai tout logiquement à la tâche de mon amie, mettant ma flûte et mon violon de côté. Aux premières paroles, j’eus la satisfaction de voir que ma voix plaisait. Oh bien sûr, jamais je ne pourrais égaler Alecto, à moins de manipuler mon auditoire par la magie. Mais selon moi, voir que d’autres qu’elle-même pouvaient chanter sans qu’on ne la réclamât lui fit l’effet d’un coup de massue. Quand la représentation fut terminée, Calis, Enrys et moi rejoignîmes Alecto à table. Elle avait la mine boudeuse et était décidée à ne pas prononcer un mot. Soit, nous l’ignorâmes et montâmes tous nous coucher.
Alecto était originaire d’une famille très en vue qui lui avait toujours passé tous ses caprices. Habituée à tout avoir et à être louée chaque jour pour sa beauté et la qualité de sa voix, elle en était devenue égoïste et capricieuse. Avec les années, je m’en étais évidemment aperçue mais jamais je n’aurais cru que ces défauts pourraient nuire un jour à notre amitié. La jeune fille joyeuse et sympathique que je connaissais devenait peu à peu une diva morne et prétentieuse. L’épisode de l’auberge, en apparence tout à fait insignifiant, n’était que le prémisse de ce qui devait arriver aux fêtes du printemps. Je me demande si ce n’est pas le fait de voyager en petit comité de musiciens, avec une seule chanteuse, qui lui aurait tourné la tête. En tous les cas, je ne tiens pas à relater l’éclat qu’elle fit lors de ces fameuses fêtes et qui aboutit à une violente dispute entre nous deux. Le souvenir des insultes échangées et des cris m’est pénible, de même que l’expression d’Enrys à ce moment-là. Jamais jusqu’alors il ne me serait venu à l’esprit que mon frère adoré put s’être épris de ma meilleure amie. Et pourtant, quoi d’étrange à cela ?

Aujourd’hui, je suis connue sous le pseudonyme d’Oiseau Chanteur. Ce surnom ne me plaît pas. C’est parce que j’ai osé chanter un jour devant un public autre que mes amis ou ma famille que j’ai perdu une amie et, de fait, un frère – car Enrys est parti avec elle. Si je chante désormais, ce n’est pas parce que j’estime ma voix mais parce que j’ai perdu la Vélane qui m’accompagnait et que je ne peux la remplacer. Je dramatise sans doute à vos yeux, mais la musique ne relève pas que du professionnel pour les Aïnurs. Chanter, jouer d’un instrument, c’est exprimer ce que l’on ressent. Lorsque je respire, quand je ris, même quand je pleure, des airs dansent dans ma tête. Ce surnom, je reconnais toutefois que je ne le dois pas qu’à ma voix. Chacun a un pouvoir. Le mien est de susciter des émotions à travers la musique. Peut-être aurais-je dû apaiser Alecto lorsqu’elle est devenue jalouse. Mais est-ce de l’amitié que de manipuler l’autre ?
Il y a trois sortes d’amis : ceux qui vous aiment, ceux qui ne se soucient pas de vous, et ceux qui vous haïssent. Alecto me hait. Le public ne se soucie pas de moi. Et je crois que Calis m’aime.

Verden, nous, VOUS !

Avez-vous vos papiers ?! Le code, SVP ! code validé par l'Impératrice !
(A moins d'avoir raté une partie de phrase, je signale à tout hasard qu'il y a une faute d'orthographe dans le code !)

Votre première appréciation, comme ça, vite fait, bien fait ? J'aime beaucoup l'ambiance apaisante créée par le décor, ça change de ces forums bariolés qui veulent donner une impression ratée de guerre cataclysmique ! Le contexte du forum me plaît aussi beaucoup (ah oui, c'est pour ça que je me suis inscrite tiens !), mais je ne pense qu'il y ait besoin de vous expliquer pourquoi puisque vous-mêmes êtes ici^^

Pensez-vous être débutant, confirmé, un as des as ? Confirmée plus que débutante, mais ça fait déjà un bail que je n’ai pas participé à un forum.. Les études m’ont un peu accaparée mais là je m’ennuyais ! Et selon moi, l’écriture est une chose qui s’améliore sans cesse, donc je ne dirai jamais que je suis une as.

Dites nous tout ! Comment êtes-vous tombé ici ? J’ai cherché des top sites, j’ai cherché de bons forums et j’ai atterri ici !

Un dernier mot à ajouter avant que votre sort ne soit jeté ? Je n'ai pas encore entamé l'histoire (honte sur moi, depuis le temps que je me suis inscrite) mais, promis, je m'y mets dès ce weekend !!

bienvenue à toi et je te souhaite bonne continuation pour la suite de ta fiche !

Merci pour la remarque ! Avoir laissé une faute..impardonnable ! n'hésite pas en m'en faire la remarque si tu en croises..j'ai beau me relire et de me faire relire mais il ya toujours une coquine qui passe le filet ...>.<

pour la peine j'ai changé le code ! certain vont être ravis ! ^^

j'ai hâte de lire ton histoire ! ^^

Hello'w'n Welcome! Bienvenu par minou, tout ça, tout ça!
Bon courage pour l'histoire, et merci d'avoir fait changer de code à l'administratrice de ce forum! (Depuis les mois que je lui hurle dessus, y'avait rien à faire...><)

Loulian, tu m'excuseras, mais j'ai pris la peine de modifier ton message de bienvenu, car "Conne continuation", je ne suis pas sur que la pauvre nouvelle se sente honorée x')
Sur ce, .. Heu... Bah, voila!

XD

Le C et le B sont proches sur le clavier... j'ai pas fait attention...mauvais point ça ! Et bien merci cher modérateur ! ^^

Voilà, fini !
Je n'aime pas trop le résultat mais j'ai la flemme d'améliorer. (A moins que vous n'ayez quelque chose à reprocher, évidemment ! )
Les descriptions des Aïnurs étant vagues j'ai pris des libertés (comme la tendance héréditaire que les familles auraient à se lier au même type d'instrument) mais j'ai fait de mon mieux pour rester vague. Et je n'ai pas beaucoup développé le côté magique de la musique de Dhamia, ni d'autres aspects, parce que ce sont autant de choses que j'aime développer dans le RP plutôt que dans une histoire que (presque) personne ne va lire.

Contente de t'avoir été utile si vite, Arwen^^

ça me convient! l'histoire est bien fluide et j'ai bien aimé le mélange de narration !

je rajouterais tes descriptions sur les Aïnurs dans les races pour les prochains ! ^^

je te laisse donc découvrir le monde de Verden ! si tu as des question^s n'hésites pas !

Te voila validé ! ^^

Ah n'oublie pas que les artistes peuvent participer à l'élaboration des concours et surtout des défis ainsi que les arbitrer ! dans l'arène tu verra un coin arbitre apparaitre ! si tu as des question sur cette particularité tu poura la poser dans le coin arbitre ou bien m'envoyer un mp pour plus de détail ! ^^

Merci beaucoup !
Et je ne manquerai pas de faire un tour du côté de ce coin arbitre !