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 |  Sujet: Annaël pour vous servir~  Dim 30 Oct - 17:36 | |
| Fiche d'identité
| Nom : Cirth
Prénom : Annaël
Surnom : Celui que vous voudrez.
Age : 21ans
Orientation sexuelle : Aucune préférence particulière, du moment que de l'humain se trouve dans l'être...
Race : Nymphe
Terre d'origine : Zone aquatique
Terre d'accueil : Zone terrestre
Pouvoirs/armes : La glace
Situation professionnelle : "Apprentie"/Disciple de Arwen
Objectifs : Surpasser son maître.
Aime : Ne sait pas trop ; Le sucré, tout ce qui est petit (et), mignon
N'aime pas : L'impossible, le(s) poisson(s).
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Plus intime
Description physique : Une chevelure de feu, des lèvres légèrement rosées naturellement, de belles courbes, un regard étrangement gris et mystérieux, une taille normale d'enciron un mètre soixante-neuf, un visage inexpressif. C'était ce que l'on pouvait qualifier de beauté froide, c'était ce que les êtres vivants pensaient d'elle en la voyant. Pourtant, si l'on s'approchait un peu plus d'elle, si l'on apprenait à la découvrir, on remarquerait très vite qu'elle n'est pas si froide que cela. Ça chevelure de couleur feue est parsemé de mèche dorée rayonnant sous une quelconque source de lumière. Sauvage comme elle, elle a donc depuis longtemps abandonné l'idée de les maîtriser et de les coiffer d'une coupe classique chez les jeunes femmes. Ils encadraient dont ainsi son visage fin faisant alors ressortir ses yeux argentés. Si ses yeux ne sont pas d'une couleur commune, elle possède une peau naturelle souvent comparée à celle d'une pêche de par son teint mais surtout de par sa douceur. Outre son physique, sa tenue vestimentaire viens s'ajouter. Peu vêtue, elle porte pour le plus souvent, un top dos-nu (attaché grâce à trois anneaux dans le dos) de couleur rouge/rouille. Avec ceci, un short en jean lui arrivant à mi-cuisse vient servir de bas. Elle met pour chaussure une paire de bottes ou une paire de ballerines selon le temps, dans les mêmes couleurs que son top. Et bien qu'elle soit une jeune femme, Annaël ne porte aucun bijou si ce n'est un bracelet fait de la même matière et de la même couleur que son top, les deux bouts étant reliés par un anneau sur lequel est accroché comme une petite queue de furet blanche comme neige allant avec son haut.
Description psychologique : Si seulement tout être humain pouvait être simple à comprendre. Malheureusement, ce n'est point le cas et Annaël ne se déroge pas de la règle. Pourtant, cette jeune femme abandonnée depuis son plus jeune âge ne connaît encore rien de la vie et de toutes ses petites surprises. Ni bien ni mal, aucun avis concernant ces deux partis ne se trouvait dans cet être. Que pouvait-on qualifier de bien ou de mal ? Ça elle l'ignorait, tout comme elle ne sache point les différencier. Après tout, personne ne lui a jamais appris à faire la différence, tout ce qu'elle sait, c'est que peu importe le moyen, elle fera tout en son possible pour obtenir ce qu'elle souhaite quitte à tuer. Tout ce qui lui semble bon pour elle semble être bien pour tout le monde, pourtant on ne peut plus compter le nombre de fois où elle fut embarquée dans de nombreuses escapades plus ou moins dangereuses. Et pourtant, notre jeune demoiselle est encore en vie même après tous ces aléas. Elle ne comprend toujours pas ce monde, et tout ce qu'elle souhaite est de trouver quelqu'un pouvant lui apprendre la vie mais surtout lui apprendre à vivre comme humain et non comme jouet de la société. Malgré tout, Annaël possède une personnalité. Intériorisée certes, mais elle en a une. Calme, observatrice, curieuse sont les points primordiaux de ce caractère enfermé. Pourtant, oui pourtant, elle aimerait connaitre d'autres sentiments et savoir comment rendre à son visage une expression autre que neutre, chose qu'elle tente d'apprendre en observant se monde vivant. Mais qu'elle tâche difficile quand on ne connaît pas la moindre chose sur ce qui nous entour, comment faire pour changer psychologiquement quand on a encore la naïveté d'un enfant ?!
Histoire : "Toutes les histoire ont leur histoire, pour qu'une étoile s'éteigne il faut qu'une autre s'allume. N'écoutez pas ce que l'on vous raconte, car doucement, sans le vouloir, on passe du cœur à la mémoire." /Paf/
Plus je relis se livre et plus mes souvenirs m'envahissent. Ces phrases remises en une me paraissent faussement réelles. Que pouvait-on qualifier de cœur ?! Cet organe si stupide, celui dont les jeunes femmes amoureuses accusent de les rendre vulnérable fasse à l'élu. Pourtant, bien que je vus de mes propres yeux un nombre presque incalculables d'êtres humains, je n'arrive toujours pas à comprendre la beauté de ce monde. En relevant la tête je plongeais mon regard dans ce qui semblait être mon reflet offert par un miroir des plus poussiéreux. Je soupirais, tout était encore là, dans ma tête, mes yeux, mon être. Après un soupir, je me relevais en laissant tomber le livre posé sur mes genoux il y a peut. L'endroit était vraiment dans un sale état, pourtant je n'éprouvais aucune envie de le nettoyer et de l’enjoliver. Peut m'importais son apparence, je vivais seule dans la demeure depuis maintenant quelques années et personne ne s'était approché du lieu-dit "maudit". C'est ainsi que machinalement, je me retrouvais vers ce qui semblait être une bibliothèque qui, tout comme la maisonnette, était en train de s'effondrer. Du regard je cherchais CE journal, celui dans lequel se trouvait toute mon histoire jusqu'à la mort du propriétaire. Une fois trouvé, je le pris en main et l'épousseta légèrement pour pouvoir lire ce qui était écrit sur la première de couverture ; "Kinnian" était le nom et du journal et du précédent propriétaire. Je retournais donc dans mon vieux fauteuil et ouvris le livre, comme à mon habitude, je relis les quelques lignes de présentation. Kinnian Cirth, frère de ma défunte mère mais aussi mon oncle, un homme d'une forte carrure de par sa musculature et sa taille. Effectivement, avec sa description venait s'ajouter une photo de lui et de ce qui semblait être ma mère. Elle semblait si belle, nous n'avions rien en commun si ce n'est peut-être notre chevelure rousse. Restant quelques minutes à regarder cette photo, je me décidais à reprendre ma lecture. Non pas dès les prochaines pages mais directement à ce qui semblait être le moment de ma naissance. Ce passage-là était pour moi presque incompréhensible de par les sentiments que semblaient ressentir tous ces êtres qui, vraisemblablement, font partie de ce que communément les gens appellent famille.
•Souvenirs :
Quel temps faisait-il dehors ? Pleuvait-il ? Faisait-il froid, chaud ? Elle ne pouvait le savoir et telles étaient dont les questions que ma chère sœur me posait. Elle arrivait au bout de sa grossesse, et malheureusement, plus le temps passait et plus sa santé se dégradait. Pourtant elle m'assurait le contraire, trouvant cela normal du fait qu'elle soit enceinte. Je passais beaucoup de mon temps à son chevet, son mari disparaissant tôt le matin et rentrant tard le soir. Bien qu'ils parlaient souvent de mariage, jamais ils n'ont franchi ce cap, et maintenant ils allaient tous deux devenirs parents. À quoi pouvait-il bien penser en laissant ainsi sa femme seule, dans cette maisonnée à l'air inhabitée ?! Il y avait tant de questions que je me posais, mais ce qui m'importait le plus était l'état de ma chère sœur, si rayonnante d'habitude, elle avait de quoi battre la neige de par la blancheur de son teint... C'est ainsi que, pendant plusieurs jours, plusieurs semaines même, ma femme et moi rendions visite à Ynaë jusqu'à ce que le jour de son accouchement arrive.
Si vite, cela est passé si vite. Comme tout les dimanches depuis presque trois mois maintenant, je me rendais au domicile de la jeune famille apportant avec moi un nouveau présent pour ma chère nièce. Malheureusement ce que je vus était horrible, comment tout cela pouvait être arrivé ? A vrai dire je ne le savais que trop bien. J'avais reçu il y a peu une mission de la guilde chez laquelle je travaillais, et j'avais pour ordre d'assassiner Jun Suttercliff et sa famille. Quel avait été mon dégoût lorsque je me rendis compte que je me devais de tuer ma propre sœur, son fiancé et sa fille. Comme un automate, j'avais alors tout programmé pour effectuer ma mission, même si je devais tuer ma propre famille... Je ne me souviens plus très bien comme toute la scène c'était déroulé, je me souviens seulement du corps de Jun gisant au sol et de celui de ma sœur, à moitié étalée sur un berceau. Ce n'est seulement lorsque j'entendis les cris du bambin que je revins réellement à moi conscient de ce que je venais de commettre. Je ne pouvais pas tuée la fille de ma sœur, sœur que j'ai lâchement tué par ce que je pouvais qualifier de peur des représailles de la guilde des tueurs. Regardant la scène, je ne sentit pas tout de suite la goutte chaude parcourant mon visage, j'étais trop occupé à m'approcher du berceau ou je vis alors quelque que chose de beau malgré l'ampleur de cette mauvaise scène. Elle était la, les yeux ouverts se calmant alors en me voyant. Tenant une mèche de cheveux à sa mère enter ses tous petits doigts. Elle était couverte de sang, couleur qui faisait ressortir ses yeux gris ; yeux qu'elle tenait de sa mère. Je ne pouvais décidément pas la tuer, c'est ainsi que je la pris dans mes bras, et l'emmenais dans sa nouvelle famille. •
Pourquoi ne m'avait-il pas tué alors qu'il avait tué ma mère ?! Je ne comprenais pas vraiment se passage du carnet abimé; mais ce que je savais, est que tout ce que je cherchais à apprendre sur mes origines et les origines de ma mère biologiques ont disparu avec ces nombreuses pages manquantes du fait qu'elles aient été, et ceux très certainement, arrachés et brûlés afin que personne ne découvre le secret. Ce n'est qu'après un énième soupir que je décidais de reprendre ma lecture, non pas au passage ou je m'étais arrêtée, mais à une autre page ou, je devais alors avoir trois ou quatre année de petite vie avec mon oncle et sa femme d'après l'écrit.
• Je ne saisissais point ce qu'il se passait devant moi. Si je le pouvais, je rigolerais en jurant voir un de ces effets spéciaux que la troupe théâtrale ayant enfin réussi un coup de maître ! Et pourtant, pourtant devant se trouvait simplement une fillette qui, au lieu de jouer avec d'autre gamins de son âge, s'extasiait à faire apparaître d'un coup de la glace sur ses mains et à proximité d'elle. A vrai dire, je ne comprenais pas trop d'où elle pouvait sortir cette magie de ses mains que lorsque je me rappela que ma sœur n'était en fait, pas vraiment ma sœur. Afin que le sujet d'une sorcière s'ébruite dans le village, j'avais vite fait empoignée Annaël pour l'emmener plus loin, dans la vieille grange ou je me mit à faire les cents pas. D'ailleurs, elle ne devait pas comprendre ma réaction vu le regard qu'elle avait posée sur moi cherchant à discerner ma soudaine brutalité. Ignorant son regard sans éclat apparent, je lui fis me promettre de ne jamais recommencer. Chose qu'elle me promis mais qu'elle ne fit pas puisque je pouvais parfois la voir au loin, cacher dans de petits endroits afin d'assouvir sa curiosité personnelle. •
Je coupais à nouveau ma lecture tout en refermant le livret. La fin, je ne la connaissais que trop bien. A l'aide de ma main, que je m'étais maintenant face à moi, et de l'humidité de la maisonnée, je me concentrais pour finalement faire apparaître une statuette de glace dans ma main. Malgré le renfrognement de Kinnian, j'avais pendant longtemps continuée à maîtriser mon dont seule ou avec l'aide de ce grand homme qui pour finir c'était résolu à m'aider dans le plus grand des secrets comme à son habitude. Plut le fil du temps passait, et plus les choses changeaient. A force de jouer avec la glace, j'arrivais à faire de nombreuses sculptures plus ou moins grande et plus ou moins étrange. Kinnian avait finit par me nommée le sculpteur de glace ou l'ornemaniste sans pour autant donner d'explications sur le pourquoi du comment de ces surnoms. Et moi, je m'en fichais pas mal. Car après tout, qu'avais-je bien en ma possession à part un nom, une maison délabrée et de vieux livres que j'avais lue une bonne centaines de fois ?! Rien, c'en était même à se demander si j'avais une âme. Pour preuve, je vivais ici seule depuis maintenant quinze années après la mort des propriétaires de ce lieu. Propriétaire que j'avais laisser dormir à l'abri de l'espace temps grâce à un tombeau de glace qui avant servait de chambre... A présent, j'ai l'impression d’étouffer, tout me gêne. Il faut savoir briser ses chaînes non ?!
Ennui. Voilà donc ce qu'elle éprouvait maintenant depuis si longtemps. Elle qui comptait rester ici jusqu'à ce mort s'en suive, elle allait finir par partir et explorer un monde qu'elle ne connaissait que trop peu mais que trop bien par la littérature. Après trois autres jours de lectures, elle s'était enfin décidée à sortir de ce lieu en ruine. Elle s'était trouvée un vieux sac dans lequel elle y fourra le peu d'argent encore présent dans une des vieilles commodes et le journal de Kinnian. Une fois sortie de la demeure, elle se retourna vers celle-ci et tendit les mains, paume face à la façade et commença à faire prisonnière cette petite bâtisse dans la glace. Une fois le travail finis, elle partie sans se retourner vers ce qui serait maintenant son passé.
Forêt, lune, alcool, inconnus, débauche. J'avais vue beaucoup de choses depuis mon départ il y a maintenant presque un an. Je m'étais nourris durant tout ce temps en commettant de petit vol ou à ce que je trouvais en forêt. Les villes trop bruyante me donnait la migraine, alors le plus souvent je restais sur les chemins de forêt et campais près d'une rivière.
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Verden, nous, VOUS !
Avez-vous vos papiers ?! Le code, SVP ! Code validé par l'impératrice (Dire que j'aurais bien pris une part..)
Votre première appréciation, comme ça, vite fait, bien fait ? Bah euh.. Sympa !
Pensez-vous être débutant, confirmé, un as des as ? Hum.. Tout dépend de l'inspiration.
Dites nous tout ! Comment êtes-vous tombé ici ? Fufu~ Depuis le temps.. Merci à toi Vieux Stitch !
Un dernier mot à ajouter avant que votre sort ne soit jeté ? Dis mama Yuu, les meurtres sont-ils acceptés ?
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Code pour la mise en forme de la fiche pris ici.
Dernière édition par Annaël Cirth le Mar 17 Jan - 19:08, édité 6 fois |
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| | Sujet: Re: Annaël pour vous servir~ Mar 1 Nov - 22:02 | |
| Il est impossible que l'élève dépasse le maître voyont!... Après tout, le maître, c'est moi!
Felinart, mon petit, ne drague pas TOUT DE SUITE ma nouvelle élève! ... Laisse lui le temps de s'acclimater à notre humour pourri, et à notre puissance Rambolesque (ouai, c'est un nouveau mot ...)! Après tu pourras jouer de tes atouts (si tu en as...) xD |
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